5 avis pour Siècle furieux
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« Tout est perdu, fors l’honneur. » François Ier
Armées dantesques, saignées humaines, guerres de religion, duels, châtiments publics et triomphe d’une puissance sans précédent contre un islam plus dangereux et menaçant que jamais : entrez avec fracas dans la fureur d’une Europe incandescente, celle de la Renaissance. Un Occident brutal et impitoyable, à feu et à sang, où capitaines gascons invincibles, conquistadors fanatiques, lansquenets brutaux, condottières cruels et Turcs abominatifs s’affrontent dans la première grande boucherie mondiale.
Entre héritage moyenâgeux et modernité technique meurtrière, le vieux monde s’embrase dans la quête effrénée de sa toute-puissance. Chiens de guerre dépeceurs d’Aztèques, nains de cour, flamberges incrustées d’or, charges de cavaleries lourdes, palais somptueux et sourdes canonnades vont rythmer et transfigurer la grande chanson de geste de nos ancêtres.
Accouchée de la rusticité du Moyen Âge en quête d’idéal antique, transcendée par une inébranlable mystique catholique, la Renaissance s’annonce flamboyante. Entre la pureté du millénaire médiéval et la décadence des monarchies à perruques, pénétrez en ce temps finissant de l’héroïsme dans sa beauté la plus violente.
Pénétrez, si vous en avez la stature et l’audace, dans ce Siècle furieux.
Tremblez, vilains ! Papacito, le roi du best-seller historique, prince du verbe et spadassin des lâches, vous renvoie dans les couloirs du temps pour une nouvelle leçon de lourde histoire en trois dimensions.
Garanti pas validé par France Culture et par l’Éducation nationale.
Ouvrage écrit en collaboration avec Antoine de Lagausie.
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jackyll –
Preux chevalier Papacito, dans son noble langage de courtoisie, de poésie et d’art nous fait revivre Bayard tant de chevaliers, tant de conquérants, tant de belles figures tutélaires, comme Bayard défenseur du pont du Garigliano comme les falaises d’Etretat luttent contre les flots déchainés. Quelle joie et quelle force pour notre France ! Quel plaisir d’être à nouveau transporté par tant de vaillance au milieu des rangs ennemis. Que de grandioses leçons de tradition, de courage et d’abnégation. Papacito prend la plume que nous avait laissé Ernest Lavisse. Il nous parle de ce temps-là où les canons, les mousquets et les fusils n’avaient pas encore remplacé les épées, les lances et les haches, de ce temps où l’ennemi se regardait dans les yeux et où l’on sentait son odeur et sa peur, de ce temps qui s’ouvrit sur les grandes découvertes et sur la Renaissance. Après avoir voyagé de François Ier à la prise de Vienne, nous pouvons crier « Terre ! Terre ! », car nous venons de redécouvrir un peu de ce qui faisait notre France.
jackyll –
Après Iéna et Auerstedt, après le succès de notre Empereur, l’Allemagne se meurt. Mais elle voulait se sauver – et elle l’a fait. Son livre de chevet est devenu le « Discours à la Nation allemande” de Fichte – Reden an die deutsche Nation », 1807-1808, donc au lendemain de la bataille d’Iéna (1806).]. Et tous les jeunes se sont précipités vers lui, afin que leur pays rayonne à nouveau comme une grande nation. Instinctivement, ils ont senti qu’il s’agissait d’une école de l’héroïsme quotidien, un moyen de combattre la morosité. Papacito est notre nouveau Fichte. Car comme lui “Il faut que la vérité soit dite, le monde dût-il se briser en mille morceaux.” Allemagne 1806 – France 2022. Notre livre de chevet doit être “Siècle Furieux”.
Axel Cauvin –
Absolument jouissif!
kikistei8 –
Papacito nous donne l’impression de passer par un trou de verre tant le temps défile et tant il nous fait voyager dans une autre époque. Je n’ai jamais réussi à finir un livre type “roman”, c’est chose faite avec “siècle furieux” et cela en 3 semaine ce qui est un exploit pour moi. Il va sans dire qu’à l’issue de ces 3 semaine “expédition punitive” a été commandé pour que je puis prolonger le plaisir. Seul bémol, les livres arrivent abîmés. Mettre le livre dans un carton en plus du papier bulle serait parfait.
Je recommande le livre dans tous les cas
Henry-Charles BESSONNARD –
On en apprend plus sur l’histoire en une seule lecture, que durant les années scolaires avec l’éducation nationale.